Vous avez évoqué le Liban. Ce pays, qui accueille plus de 2,5 millions de réfugiés, souffre économiquement depuis octobre 2019. Il s'agit d'un État en faillite qui le sera encore davantage en raison du confinement jusqu'au 15 mai. On ne peut faire de virement en direction du Liban, et les Libanais ne peuvent sortir de leurs banques plus de 100 euros par semaine. Il s'agit donc d'une situation très compliquée et qui ne peut que s'aggraver. Ils ont eu un contrôle partiel de la Banque mondiale. Comment pouvons-nous aider le Liban, pays très proche de notre culture et de nos racines ?