Je débute comme ministre, mais j’ai été député un certain nombre d’années. J’ai le plus grand respect pour la qualité des débats parlementaires, qu’ils se tiennent au Sénat ou à l’Assemblée nationale, et, en tant que ministre, je me suis engagé à m’en enrichir.
J’ai exprimé les réserves juridiques qui m’ont fait opter pour un avis de sagesse, le droit étant clair en la matière, mais, parce que je considère que ce sujet est très important et qu’il nous engage collectivement – c’est au sein des territoires que doivent s’organiser les capacités d’hébergement dans ces conditions spécifiques –, j’émettrai finalement un avis favorable, de manière à envoyer un signal.