J’émettrai moi aussi un avis de retrait, d’une part, parce que ces dispositions relèvent du décret et non de la loi, et, d’autre part, parce qu’un propriétaire forestier peut tout à fait se rendre aujourd’hui – et a fortiori après le 11 mai – dans sa forêt pour s’y promener, y travailler et l’entretenir.