Monsieur le sénateur Retailleau, ce que vous appelez du storytelling, ce sont des faits. Que ceux-ci n’aillent pas dans le sens de la critique que vous voulez exprimer, j’en suis désolé, et je veux bien prêter le flanc à d’autres critiques, si vous le souhaitez, mais celle que vous faites n’est pas factuelle.
J’ai été le premier à donner en conférence de presse devant les Français l’état précis de la situation. Cherchez et citez-moi un autre pays qui a fait état de la quantité de masques dont il disposait.