L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) nous alerte sur la fragilisation de nos systèmes de données et le ministère des solidarités et de la santé n’y échappe pas. Et surtout, en l’absence totale de solution souveraine, nous courons le risque de captation et de mésusage des données par des acteurs aux intentions beaucoup moins nobles, parfois politiques ou économiques, qui n’ont rien à voir avec le but à atteindre.