Nous n’attendrons par le 1er janvier 2009 pour entamer ce travail d’amélioration. Notre logique n’est pas abstraite, et nous ne nous contentons pas de sanctuariser les évolutions prévues dans des textes ! Le travail concret d’amélioration du service rendu aux usagers d’un service public se fait d’abord sur le terrain, et il suffit de pousser la porte des guichets de l’ANPE pour s’en rendre compte.
M. Seillier, qui connaît la réalité de la précarité, pour avoir œuvré sur ces sujets depuis de nombreuses années au travers de son engagement politique, a rappelé également, comme Mme David, les enjeux de la formation.
Ils sont effectivement essentiels. Or de tous les gouvernements qui se sont succédé depuis une vingtaine d’années, mesdames, messieurs les sénateurs, très peu ont eu le courage de s’attaquer à cette vache sacrée de la formation professionnelle.