Au SMIC horaire, bien sûr !
Ainsi, s’agissant du revenu de remplacement, on considère que le demandeur d’emploi qui percevait, par exemple, une allocation chômage de 1 600 euros pourra accepter un emploi rémunéré à hauteur de 85 % de cette somme. Cela est très clair également.
Le demandeur d’emploi aura toujours la garantie du SMIC et sera prémuni de tout salarial destiné à tirer les salaires par le bas grâce à la comparaison avec le salaire normalement pratiqué dans la région et la profession pour le type de qualification concerné.
Bref, et je comprends que, pour vous, ce point soit le plus important, on ne forcera aucun demandeur d’emploi à accepter, s’il ne le souhaite pas, un travail à temps partiel. C’est très clair : je ne veux pas d’un outil qui deviendrait une « trappe à temps partiel ».