Nous vous demandons de rouvrir les librairies et vous interdisez les ventes de livres autrement que par internet.
Nous vous demandons de laisser les préfets juges de ce que l’on peut faire en fonction des situations sanitaires inégales que connaît notre territoire et vous nous répondez : « On ne revient pas sur la parole du Président de la République ! »
Nous vous demandons d’associer le Parlement aux décisions et vous nous répondez : « Ordonnances ! »
Nous allons malheureusement – je n’en doute pas – conclure une fois de plus nos débats sur un désaccord, mais ne vous y trompez pas : lorsque le Parlement gronde, c’est la France, que nous représentons, qui gronde !