Si l’article 23 bis représente un premier pas vers un dispositif un peu plus juste, mon amendement est un second pas en ce que, dans l’injustice, il est un tout petit peu moins injuste…
Je ne le retirerai donc pas, madame la présidente, ne serait-ce que par égard pour les communes de mon département de l’Oise, qui souffrent de la cristallisation du FNGIR.