Cela est une de mes premières préoccupations. Les travaux de cette délégation sont reconnus unanimement pour leur qualité mais pêchent parfois par leur manque de traduction législative. C'est une inquiétude que j'ai rappelée hier au président Larcher.
Il y a un autre risque : celui consistant pour nos collègues des autres délégations ou commissions à ne pas traiter des sujets ultramarins, au prétexte qu'il existe une délégation aux outre-mer.
Le rapprochement avec nos collègues députés est également indispensable, car nous ne connaissons pas forcément les travaux menés à l'Assemblée et réciproquement. Nous devons créer des passerelles.