J’ai peur que l’adoption de l’amendement n° II-10 de M. Lurel ne réduise mes prétentions.
Comme je l’ai indiqué brièvement lors de la discussion générale, il ressort du « jaune » budgétaire sur les participations de l’État qu’un certain nombre de sociétés dont l’État est actionnaire ont une politique soit d’évasion, soit d’optimisation fiscale. Un certain nombre de situations me paraissent tout à fait anormales. Or l’État doit être vertueux et montrer l’exemple.
Le présent amendement vise donc à prélever 2 milliards d’euros sur les 2, 3 milliards d’euros de dividendes au profit du désendettement de notre pays.