Je vais soutenir cet amendement.
Les travaux réalisés dans le cadre de la commission de suivi de la loi Égalim ont mis en évidence combien cette filière souffrait des changements de règles. En janvier 2020, le Sénat avait voté à l’unanimité un texte qui aurait pu apporter une réponse.
Pour être allé sur le terrain, je peux témoigner qu’il s’agit d’une des rares filières qui intègre les coûts de production dans la définition du prix. C’est presque la triple peine pour cette filière très organisée si l’on ajoute les difficultés liées à la loi Égalim qui a pénalisé les produits festifs, ainsi que celles que Franck Montaugé vient d’évoquer.