Je ne partage pas le point de vue qui a été exprimé en ce qui concerne l’accès direct aux soins en orthophonie.
Au regard de la diversité des pathologies – troubles du langage chez l’enfant ou chez l’adulte –, il me semble important que le diagnostic et les traitements orthophoniques n’interviennent qu’après un diagnostic médical avéré, sauf situation d’urgence.
Même si nous travaillons autour de l’attractivité du métier en lui-même, la prescription médicale doit être maintenue.
J’émets donc un avis défavorable sur ces deux amendements identiques.