En l’absence du président de la commission des lois, je me permets d’intervenir ; je pense qu’il partagera mon point de vue.
L’ordre du jour ne prévoit pas qu’une séance soit ouverte demain, et nous ne souhaitons pas que tel soit le cas ; vous avez raison sur ce point, monsieur Sueur. Il appartient donc à chacun de bien mesurer le temps de ses interventions.