L’utilisation de l’expression « droits de l’Homme » n’est pas un détail sémantique sans importance. Cette appellation n’est pas neutre : elle s’inscrit dans une histoire française, qui a longtemps exclu et invisibilisé les femmes.
Sans vouloir réécrire l’histoire, monsieur le ministre, cet amendement vise simplement à remplacer les termes « droits de l’Homme » par ceux de « droits humains », afin que l’ensemble des personnes composant notre planète soient représentées.