En apparence, l’adoption de cet amendement reviendrait à restreindre le champ d’une disposition introduite en commission.
Toutefois, après en avoir débattu avec le Gouvernement et au sein de la commission, nous préférons nous assurer que le rapport soit de qualité et remis à temps. Mieux vaut évoquer les dix-neuf pays prioritaires visés par la France que de trop étendre le champ du rapport. À cet égard, je pense également à nos collègues de la commission des finances, qui ne voulaient pas consacrer davantage de moyens humains à cette question.
Pour ces raisons, la commission est favorable à cet amendement.