Il n’y a vraiment de ma part aucune suspicion de maladresse ou de perversité. Mais je parle – un peu – d’expérience : j’ai vu des situations où les risques étaient non seulement patents mais visibles. Je comprends très bien que les organisations humanitaires, que je rencontre moi aussi, y compris dans les zones à risques, disent qu’elles ne peuvent plus aller ici ou là, qu’elles ne peuvent plus faire ceci ou cela, …