Tout à fait, car rien ne vaut le fait de le dire et de l’inscrire dans la loi. C’est une façon de se protéger pour l’avenir.
J’ai cité l’exemple du Japon, mais bien d’autres pays agissent de la même manière. Pourquoi ce que fait le Japon, la France ne pourrait pas le faire ?
Il faut que nous soyons cohérents : on ne peut pas tenir de grands propos et défendre de grands principes, et céder ensuite au quotidien – excusez-moi d’avoir à le dire – à de petites lâchetés mettant à mal la francophonie. Si certains veulent bénéficier de l’aide de l’AFD, qu’ils fassent l’effort de nous répondre en français ou de traduire dans notre langue les documents qu’ils doivent nous transmettre !
Nous ne demandons là rien d’extraordinaire ; il s’agit au contraire d’un amendement tout à fait logique et de bon sens.