Cet amendement de repli vise à se conformer à la définition onusienne des biens publics mondiaux. En effet, d’après la définition du programme des Nations unies pour le développement de 1999, trois grandes catégories composent les BPM : ceux qui sont naturels tels que le climat ou la biodiversité, ceux qui sont d’origine humaine, enfin, ceux qui résultent de politiques globales, comme la paix, l’éducation et la santé.
Par conséquent, il serait préférable de citer l’éducation et la santé parmi les biens publics mondiaux.