Le climat mondial est assez hostile à la reconnaissance des droits sexuels et reproductifs depuis quelques années. Leur promotion par la France passe par leur affirmation dans ce texte.
Cet amendement vise à les nommer expressément dans le cadre de partenariat global. Il convient de ne pas se limiter aux « déterminants de la fécondité », expression qui ne prend en compte que la dimension reproductive de la sexualité.
En vertu de ce que l’on appelle « les droits sexuels et reproductifs », chacun devrait avoir le droit de choisir son partenaire, son mode de vie, de se marier ou non, d’avoir ou non des enfants… Ces choix doivent pouvoir être assumés librement, sans contrainte et sans crainte de subir des violences, des menaces ou des poursuites en justice.