Depuis le début de la crise, nous avons toujours écarté le vote à distance, préférant le système, plus classique, des procurations.
Je rappelle que le président du Sénat s’est toujours opposé à l’idée d’un « Parlement virtuel ». Or l’adoption d’une telle mesure nous ferait nous engager sur cette voie, ce qui n’est pas souhaitable. Au demeurant, personne n’avait formulé une telle demande au cours de nos débats.
La commission a émis un avis défavorable sur cet amendement.