Quand je parlais de « barrières », je voulais simplement que l'on tienne compte des gens qui vivent de la mer, afin qu'ils puissent continuer à vivre dans leur territoire. À l'île d'Oléron, les pêcheurs ne pourront plus aller pêcher entre les mâts des éoliennes, car ils seront éloignés de trois kilomètres les uns des autres.