Je le dis très simplement à Mme de La Gontrie, je n’accepte pas de subir l’anathème qu’elle vient de jeter sur chacun ou chacune d’entre nous, et sur le Sénat en général.
Je n’accepte pas de l’entendre dire que nous aurions une appréciation différente de la douleur selon la situation familiale.
Madame, je ne l’accepte pas et je peux vous dire que je suis profondément choqué à titre personnel.