La commission des affaires économiques a conforté le pouvoir du législateur en matière de rénovation énergétique.
Nous avons en effet précisé que, dans le cadre de la loi quinquennale, à compter de 2023, le législateur détermine lui-même un rythme de rénovation selon une typologie précise – gestes de travaux, bouquets de travaux, rénovations globales ou performantes.
L’amendement proposé vise à ajouter à ce travail une dimension fort utile, à savoir la prise en compte des spécificités territoriales liées au bâti ou au climat.
En conséquence, l’avis est favorable.