Vous avez raison, madame la ministre, là encore, nul besoin de les contrôler…
Toujours dans le même rapport, en page 67, un autre cas est présenté, qui concerne un abus de confiance au préjudice d’une association humanitaire faisant appel à la générosité publique.
Cette fois, le circuit est le suivant. Un président d’association humanitaire fiché S – est-ce vraiment important, me direz-vous ! – est suivi par la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) pour radicalisation… Cet individu est établi au Moyen-Orient, où il gère à distance l’association – certainement une forme de télétravail !