De nombreux Français établis à l’étranger ont été contraints de se faire inoculer un vaccin chinois, le Sinopharm, qui n’est toujours pas reconnu par la France alors qu’il l’est par l’OMS. D’autres de nos compatriotes se sont vu injecter le vaccin Spoutnik, dont la demande d’homologation par l’Agence européenne des médicaments, déposée en février dernier, court toujours.
Ce vaccin russe est actuellement considéré comme inexistant par les autorités françaises, alors qu’il est largement diffusé à travers le monde. Une décision doit être prise, et la représentation nationale doit avoir accès aux arguments qui motiveront l’état de la réflexion sur la reconnaissance de ce vaccin.
Ce matin, le secrétaire d’État chargé de la transition numérique et de la communication nous a annoncé qu’une troisième dose serait injectée aux Français de l’étranger qui reviennent en France. Or les médecins s’y refusent pour l’instant.