Notre rôle de législateur est de réinsuffler l’espérance aux familles françaises. Or, en 2010, 47 % des femmes qui avortaient le faisaient principalement pour raisons matérielles. Ce chiffre a forcément augmenté avec la crise sociale et économique que nous subissons.
Autrefois, la vie était une richesse : elle est devenue, dans nos contrées occidentales, un véritable fardeau.