Le Gouvernement est extrêmement favorable à ces amendements.
Pour lutter contre le harcèlement et le cyberharcèlement, il faut évidemment des sanctions, mais aussi de la prévention et de l’éducation – c’est d’ailleurs ce que préconisait l’excellente mission d’information sénatoriale. Prévenir, c’est éviter d’avoir à sanctionner et surtout empêcher que des vies ne soient brisées.
Il paraît opportun d’inscrire dans la partie législative du code de la justice pénale des mineurs que des stages de sensibilisation peuvent être prononcés à titre de peines contre les auteurs de harcèlement scolaire ; il s’agit là d’une véritable avancée.