À l’Assemblée nationale, il a été possible de faire remonter l’âge à partir duquel cette obligation s’appliquerait au niveau de la majorité, 18 ans.
Nous demandons que les enfants n’aient pas à subir les tests aux frontières. Imaginez la culpabilité que ressentirait un enfant qui serait, au sein de sa famille, le seul à être testé positif !
Les difficultés psychologiques sont déjà fortes. La jeunesse, depuis deux ans, a payé un lourd tribut ; il y va de la bienveillance que nous devons aux moins de 18 ans.