L’amendement n° 167 vise à rétablir l’échelle mobile des salaires qui a été supprimée en 1982. En l’occurrence, elle a été abandonnée, parce qu’elle alimentait la spirale inflationniste. Or nous sommes précisément dans une spirale inflationniste.
Pour cette raison, la commission est opposée à une indexation globale des salaires sur l’inflation, que ce soit de manière générale ou dans les professions majoritairement féminines.
Cette dernière proposition, inscrite dans l’amendement n° 344 rectifié, introduirait en outre une inégalité injustifiable entre les salariés des secteurs concernés et les autres.
La commission est donc défavorable à ces deux amendements.