On peut, la main sur le cœur, penser à ceux qui ne travaillent pas. Cela reporte le problème sur nos enfants, car ce sont eux qui rembourseront, pas nous. Si, en France, le courage c’est cela, je trouve que c’est regrettable…
Je retiens en tout cas que l’on revalorise davantage les minima sociaux que le travail, et c’est bien dommage.