Le problème est l’insuffisance des moyens de contrôle. Vous avez évoqué la DGCCRF, mais les effectifs manquent pour effectuer les vérifications sous tous leurs aspects.
Les contrôles ne sont menés qu’à partir du moment où des personnes moins vulnérables, elles-mêmes confrontées au problème, réagissent. Or ce sont les personnes les plus fragiles qui paient le plus facilement – on leur fait croire toutes sortes de choses, qu’elles doivent de l’argent, etc.
Il faut doter les services de l’État, à tous les niveaux, des moyens nécessaires pour résoudre ces difficultés.