Je n’ai pas l’habitude de prendre la parole dans les débats, mais tout de même, madame Rossignol !
M. le rapporteur a expliqué pourquoi la commission a donné un avis défavorable à vos amendements. Il s’agit, non pas d’une question de fond – nous avons tous conscience de l’utilité de ce que vous défendez –, mais d’une question de circonstances, de texte adapté et d’analyses supplémentaires nécessaires. Telle est la réalité des choses. Tel est notre travail à la commission des lois !
Je ne puis accepter les propos que vous avez tenus, qui consistent à faire du chantage à vos collègues.