Ayant échoué à faire adopter le précédent amendement du sénateur Breuiller, je réitère mes efforts : il serait dommage de ne pas faire un geste en faveur de la planification écologique et de la programmation de nos investissements en la matière. Nous sommes très nombreux, j’en suis convaincu, à partager cet objectif.
J’émets donc un avis favorable sur l’amendement n° 17.