En Aveyron, il y avait cinq parlementaires, soit 750 000 euros de réserve au total : l’essentiel de ces fonds était destiné aux associations.
Or aujourd’hui, dans mon département, le fonds pour le développement de la vie associative s’élève à 300 000 euros.
Faites les comptes et vous verrez que la situation, contrairement à ce que l’on prétend, est bien moins intéressante pour les associations qu’avant la suppression de la réserve parlementaire.