Cet amendement de Mme Delattre fait écho au rapport sénatorial Mieux organiser la Nation en temps de crise, qui avait montré que les services pénitentiaires d’insertion et de probation (Spip) avaient connu de graves perturbations lors de la crise sanitaire, notamment en raison d’un manque d’équipements rendant difficile le travail à distance.
La numérisation de la justice ne doit pas négliger les Spip, qui peuvent assumer une grande partie de leurs missions à distance, à condition de pouvoir se connecter.