M. Claude Raynal, rapporteur spécial. Mais non, pas du tout ! Je sais être menaçant quand il le faut, mais, en l’occurrence, je pense qu’il n’y a aucune chance que nous ayons terminé l’examen de cette mission d’ici à vingt heures. Par conséquent, inutile d’essayer d’entrer à toute force dans un temps de toute façon trop contraint. Je sais la passion de tous pour ce sujet. Ce serait un miracle si la présidence parvenait à nous faire respecter le temps prévu. Pour ma part, je n’y crois pas beaucoup, donc préparons-nous à l’idée de siéger samedi prochain. Ce n’est, je le répète, nullement une menace ; nous aurons d’ailleurs beaucoup de plaisir à nous retrouver pour poursuivre notre débat.