En revanche, je rejoins notre collègue sur deux questions essentielles.
La première est celle des déchets, qui mérite d’être approfondie et débattue, j’en conviens volontiers.
La seconde est celle du démantèlement, et donc de la filière industrielle et de la formation. Un certain nombre de salariés d’EDF m’ont indiqué que le savoir-faire fait défaut. Dans ces conditions, comment revenir au programme de fermeture de douze tranches, auquel je suis pour ma part favorable ? Cela suppose des investissements, et partant, des investisseurs, ainsi que du savoir-faire.
Cette situation pose une véritable interrogation au Gouvernement et à EDF.