Cela pose tout de même question et appelle des réponses.
Montrer qu’il existe des failles au sein de l’industrie nucléaire – d’ailleurs, celles dont nous parlons en ce moment ne sont pas les seules ; il y en a bien d’autres, et nous en avons largement débattu aujourd’hui – participe de la sécurisation.
J’espère simplement que mes camarades et moi n’aurons pas eu raison trop tôt et que notre pays ne connaîtra pas un accident majeur.