Cela traduit une réalité : au-delà des postures, et avant la vraie loi de programmation, il nous faut un vrai débat, un débat objectivé, un débat citoyen ! Nous avons passé notre journée – cela me semble court, par rapport aux deux jours auxquels je m’attendais pour aller plus loin dans nos discussions – à poser des questions, généralement sans obtenir de réponse.
Au final, nous n’avons eu que peu débattu, même si je remercie notre collègue Piednoir, qui s’est efforcé de participer.