La consultation du 29 mars doit amener chaque électeur de Mayotte à réfléchir sur l’avenir de son île.
Chacun mesure l’ambition et les exigences de la départementalisation. Il faut faire de cette dernière une chance pour Mayotte. Ce doit être un engagement dans la confiance, celle des Mahorais dans l’État, qui leur permet d’accéder à un statut longtemps revendiqué, et celle de la France dans la capacité de la population de Mayotte à assumer cette évolution.