Votre silence, il est vrai, est particulièrement étonnant.
Mes chers collègues, nous devons la vérité aux Français. Ils nous regardent au travers des médias qui nous suivent de manière attentive, chacun l’a bien compris, notamment en cette journée de mobilisation très forte.
Vous avez décidé de ne pas vous prononcer à ce stade. Cela me déçoit, parce que j’ai écouté avec attention le discours de Bruno Retailleau, qui, lors de la discussion générale, se félicitait du retour du clivage entre la droite et la gauche. Oui, il est revenu avec cette réforme des retraites, mais n’ayez pas la droite honteuse