Madame l'Ambassadrice, vous l'avez dit, M. Orbán estime que le pays est capable d'absorber un pic épidémique. Or, on sait que c'est le nombre de lits de réanimation qui fait la différence, ainsi que la possibilité pour le pays de pouvoir exporter ses patients vers les autres pays.
Disposez-vous d'un état de la capacité réelle de la Hongrie à absorber ses éventuels malades ? Des pourparlers ont-ils déjà été engagés avec les pays européens limitrophes ou plus éloignés pour exporter les malades les plus graves ?