s'agissant de la coordination de la politique de l'Etat en matière de formation professionnelle, a précisé que le choix du ministre de l'éducation nationale comme chef de file pouvait tout d'abord se justifier par le fait que la formation continue demeure très dépendante de la formation initiale. Il a ensuite estimé que l'éducation nationale ne mérite pas d'être stigmatisée de façon excessive, tout en rappelant le rôle, et parfois les défaillances, des familles, notamment dans le domaine de l'orientation des élèves. Enfin, il a indiqué que l'apprentissage ne peut continuer à être développé que si l'éducation nationale s'investit très fortement dans ce domaine.