Il est choquant que l'on doive rappeler que c'est l'intérêt de l'enfant qui doit primer. Les rythmes scolaires sont-ils le principal facteur d'échec de notre système éducatif ? Notre école, a-t-on remarqué, va bien pour les enfants qui sont doués.
L'intérêt de l'enfant peut-il être déconnecté de celui de la famille, des collectivités territoriales ou de l'économie ? Si le retour à 4,5 jours fait consensus, pourquoi un tel tollé ? N'est-ce pas un problème de méthode ? On veut imposer par circulaire les mêmes rythmes à toute la France, mieux vaudrait une logique de contrats.