Accorder un délai supplémentaire d’un an, c’est bien l’aveu que le dispositif n’est pas satisfaisant. Il faut vraiment méconnaître les territoires d’outre-mer pour penser qu’un délai supplémentaire peut suffire à atténuer les effets dont j’ai parlé.
Les collectivités d’outre-mer sont déjà soumises à de fortes contraintes ; je ne crois pas nécessaire d’en rajouter. C’est pourquoi j’insiste sur l’importance de cet amendement, que je vous exhorte, mes chers collègues, à voter.