Je suis inquiet. La qualité des rejets traités dans les stations d'épuration dépend de nos connaissances scientifiques ; or nous avons du retard face aux rejets chimiques ou médicamenteux, face aux plastiques, etc. L'enjeu est majeur : nous n'avons pas le droit d'imposer aux utilisateurs, quels qu'ils soient, une eau qui ne serait pas pure. Cela relève d'un effort quotidien et des progrès de la recherche pour innover en matière de traitement. En verrons-nous le bout ? Il me semble que la société évolue plus vite que la recherche.