Enfin, et je rejoins ici les propos de M. le ministre, il me paraît très difficilement acceptable, en l’espèce, qu’un décret définisse les modalités d’une péréquation censée bénéficier à quatorze régions mais pas aux huit autres.
Les critères en la matière relèvent de la loi et non du décret : ce doit être pour nous une exigence absolue.