Monsieur le ministre, votre proposition reprend en tout point ce que je suggérais d'inscrire dans le code de l'éducation.
Par ailleurs, je voudrais vous prévenir : il m'a été assuré au cours de mes nombreuses auditions, à l'intérieur même de l'éducation nationale, que si les choses devenaient trop compliquées le terme « harcèlement » ne serait plus utilisé et serait remplacé par un autre. Ce ne serait pas digne de l'éducation nationale !