Monsieur le ministre, vous avez dressé une fois de plus un constat, que vous abordez avec quelques mesures conjoncturelles figurant dans la feuille de route des 100 jours de Mme la Première ministre. On y parle simplement de faciliter l’accès au logement et de favoriser le mieux-vivre.
Mais nous avons besoin, au-delà des réformes et des problèmes conjoncturels, d’apporter des remèdes à des problèmes structurels. Il faut une véritable remise à plat de la politique du logement, ainsi qu’un inventaire de la réglementation. C’est du bon sens, mais aussi de l’urgence. En effet, derrière cette crise du logement se profile une crise sociale, et une crise sociétale, hautement inflammable dans un pays déjà à fleur de peau.